top of page

Qu’est-ce qu’une bonne crème « anti-âge » ?

Dernière mise à jour : 15 oct. 2023

Derrière ces quelques mots se cache une sacrée promesse ! Une crème permet de « lutter » contre l’âge, de s’y opposer donc… L’âge est-il donc un ennemi ?



Nous le savons: la société renvoie beaucoup à l’apparence physique : cela a toujours été le cas mais cela est désormais amplifié par la valorisation de soi qu’il est possible de chercher sur les réseaux sociaux et ce, dès le plus jeune âge.

Pour autant, malgré toutes les crèmes anti-âge, anti-rides possibles, il est un constat simple et sans détour : le temps avance toujours. Doit-on donc le considérer pour cette raison comme un ennemi?


L’âge n’est pas un couperet. De nos jours, les conditions de vie sont meilleures qu'il y a encore quelques années et avoir "60 ans" n'a plus la même signification maintenant qu'autrefois.Il y a plutôt des périodes de la vie où on ressent un changement – généralement une « baisse de » - et d’autres où tout est relativement stable, hors accident de la vie.

C’est aussi une prise de conscience pour vivre chaque instant dans « l’instant présent », selon les conseils répétés depuis l’Antiquité.


L’angoisse de l’âge lance parfois dans une course effrénée vers l’avant qui s’apparente à une forme de déni ("je suis trop occupée pour m’occuper de moi)" ou bien dans la résignation « inutile de lutter, c’est perdu d’avance ».

Si on ne peut s’empêcher de vieillir, on peut essayer de considérer l’âge comme un compagnon.


A chacun sa recette:

A chacun sa recette pour se sentir bien jusqu’à un âge avancé : créativité, voyages, développement personnel, spiritualité, nouvel amour, petits-enfants, activités associatives, ...


Marie me sidère : elle passe beaucoup de temps à s’occuper activement des autres, tout en gardant ses propres activités : pendant 6 ans, elle a fait des allers retours tous les week-ends depuis Paris jusqu’à Bordeaux pour s’occuper de sa sœur qui était malade (décédée depuis) et de sa mère qui logeait chez elle (décédée également) ; elle a pris soin de sa belle-mère jusqu’à son décès à 101 ans (ou plutôt ex belle-mère car elle était déjà divorcée), elle organise sans défaillir des sorties de groupe, chronophages dans leur préparation., veille régulièrement au bien-être des uns et des autres, a toujours un petit mot agréable … Quand je lui ai posé la question de savoir où elle trouvait sa belle énergie de septuagénaire, elle m’a répondu clairement : « je crois que s’occuper des autres, ça entretient ! »


Effectivement « le goût des autres » n’est pas que le titre d’un film d’Agnès Jaoui, c’est aussi un partage qui allie bienveillance et générosité. Cela nécessite d’être capable de vivre avec soi-même en bonne intelligence pour être présent sans se laisser parasiter ou trop envahir.


Les projets sont d'excellents remèdes "anti-âge": ils constituent un baume qui apaise et renforce le moral. Mais il est possible aussi de trouver comme motivation celle de passer une journée en accord avec soi-même.

Dans le documentaire "Suzanne jour après jour" , Suzanne vit chaque jour au temps présent, avec des joies simples, sans cesse renouvelées. Cette simplicité de coeur et de vie inspire de nombreuses personnes qui vivent dans son entourage et voisinage. A 93 ans, elle vit... Bien .


Pour voir le replay disponible jusqu'en février 2024:

Cliquer ici :


Le résumé:

Suzanne vit seule dans une maison isolée, dépourvue du confort moderne. " On verra bien ! " Suzanne prend la vie comme elle vient, avec calme et sérénité. Elle habite la ferme qui l'a vue naître en 1930, en lisière d'une forêt des Hautes-Vosges. Cette habitation n'est raccordée ni à l'eau ni à l'électricité. Au gré des saisons, Suzanne cultive son potager, prépare ses conserves, lit la presse, marche dans la montagne, accueille les visiteurs de passage. Elle savoure en riant tous les petits plaisirs de la vie, s'amusant d'incarner cette sobriété heureuse à laquelle aspirent ses contemporains. "Suzanne jour après jour" : un magnifique portrait d'une vosgienne nonagénaire qui incarne la sobriété sereine et heureuse.

Auteurs-Réalisateurs : Stéphane Manchematin et Serge Steyer Coproduction : Les Films de la pluie / Ana Films Avec la participation du Centre National du Cinéma et de l'Image Animée, de Vosges Télévision, de France 3 Grand Est et de France Télévisions.


Un coup de pouce pour trouver votre recette? Envie d'en parler?

N'hésitez-pas à me contacter !

Pour en savoir plus, cliquez ici:


bottom of page